471 - Emotion
26 avril 2014 - Contadora - Las Perlas
Y’en a pas beaucoup qui peuvent se vanter d’avoir fait pleurer le capitaine. En même temps, c’est le capitaine, alors bon...
L’exploit a cependant été réalisé aujourd’hui par les Bohémiens, qui, soucieux de ne pas faire les choses à moitié, ont aussi fait chialer le Pimousse ! Les salauds !
On t’a déjà dit que Jean Pierre est un artiste de grand talent, et de renommée internationale. Ne rougis pas lecteur d’être ignorant de cet état de fait, on avoue bien humblement que nous l’ignorions aussi avant de faire sa connaissance.
On ne peut pas tout connaître, en particulier concernant l’art moderne !
Caroline, sa blonde moitié, entre autres qualités, est quant à elle une artiste de la gentillesse.
De sorte que lorsqu’ils nous ont accueilli à leur bord aujourd’hui pour nous offrir ce splendide “portrait” de Kouunji, porteur de tant de symboles et de significations, le capitaine en a pleuré d’émotion, suivi de très près par le Pimousse.
Cette authentique oeuvre d’art illustrera désormais le blog. Toi lecteur, tu ne peux pas apprécier pleinement la qualité du travail, puisque tu as une version scannée qui est minuscule sur ton écran d’ordinateur.
Mais de visu, ça te remue le fondement, ça te chatouille l’émotion, ça te triture le sentiment, ça te stimule la corde sensible, ça te papouille la lacrymale, ça te retourne les glandes à plaisir, ça t’humecte l’oculaire, ça te carabistouille la joyeuseté, ça te touche dans les grandes profondeurs, bref, ça te chambarde le palpitant !
Le capitaine se contrefout que tout un chacun pense qu’il a un coeur d’artichaut, il est sensible à l’art et à la gentillesse, et il assume ses pleurs (plus facilement que ses erreurs !).
Fais gaffe à tes miches lecteur : t'as intérêt à dire que c'est beau, sinon tu peux te préparer à être banni éternellement et peut être même pour plus longtemps encore de notre blog !
Du coup, on a passé la journée à papoter avec les Bohémiens.
Et crois nous lecteur, des boat-potes qui ont des attentions semblables à ton égard, tu t’emmerdes pas une minute en leur compagnie !
On souhaite enfin bon vent à Contre Temps, qui est parti à l’assaut du Pacifique, ce qui, d’un strict point de vue linguistique, est assez paradoxal...!